[Homme] Mnénolly

Après vous avoir présenté divers avenirs possibles, les gardiens des âmes ont noté le destin que vous avez choisi. La réincarnation peut commencer et le cycle de l'âme se terminer. L'âme est maintenant liée à l'enveloppe charnelle que vous avez choisie. A vous de prendre en main votre destin![Fiches validées classées par races]

[Homme] Mnénolly

Postby Mnénolly » Fri Oct 01, 2010 12:27 am

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    Nom : Gwondaltena
    Prénom : Mnénolly
    Age : 21 ans
    Race : Humain
    Sexe : Féminin
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C.G. wrote:J'affirme être majeur dans mon pays.
J'ai lu et j'accepte les conditions et règles de bonne conduite pendant mon temps passé sur ce forum.
Et la preuve que vous avez lu ce règlement par ce qui suit :
Ma liberté s'arrête là où commence celle des autres.

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    Surnoms : Varient suivant les personnes étant amenées à l'entourer
    On dit : qu'elle devrait prendre le temps de vivre, que son aplomb masque son manque de confiance, qu'elle préfère la solitude à une piètre compagnie.
    Classe : ----
    Clan : ----
    Style de vie souhaité : Une vie simple loin des intrigues et de l'agitation, une famille, un compagnon, des enfants. Une flopée d'animaux sans laquelle elle ne pourrait envisager de vivre. Bref... Rien, qui pour une autre qu'elle, ne pourrait paraître compliqué.
    Famille : Son père Warren, sa mère Mnéhéma et ses deux soeurs Irièlle et Galthéa. Uris, son mentor, qu'elle considère autant de sa famille que ceux de son propre sang.
    Enfants : Aucun pour l'instant.
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    Description Physique : Mnénolly porte habituellement une cape longue marron foncé sur ses robes toujours simples mais au tissu noble et fin. Ses cheveux, châtain clair aux reflets roux cuivrés, ruissellent sur ses épaules et ses traits légèrement hâlés. Ses grands yeux verts semblent dévorer sont visage parsemé de taches de rousseur dorées. Ses traits sont fins et délicats. La frêle adolescente à fait place à une femme aux formes graciles et généreuses s'unissant avec harmonie à une musculature fines mais bien sculptée. Sa beauté et son charme sont certains d'autant plus qu'elle est persuadée de n'en avoir aucun.
    Description Psychique : Mnénolly, reste sous ses airs amicaux une farouche jeune femme. Elle reste marquée par son enfance qui, si elle n'a pas été dure et pauvre n'en a pas moins été éprouvante pour elle. Elle est persuadée d'être laide et malgré son apparente assurance c'est un effort de tous les instants que fait la jeune femme pour paraître forte et intouchable. Il n'y a jamais eu de place dans sa courte existence aux marques d'affections sincères et désintéressées si ce n'est par son mentor, de ceci elle conserve une distance qu'elle garde malgré elle avec ceux qu'elle est amenée a côtoyer.
    La jeune femme aime étudier, se plonger dans les arts, quels qu'ils soient : art du combat, magie, astronomie... Elle voue un amour profond aux animaux qui contrairement aux êtres dits intelligents ne jugent pas sur les apparences mais sur ce qu'est, en son cœur et son âme, l'être ou la chose qui leur fait face.
    Elle voue une profonde aversion pour les jeux et les plaisirs quels qu'ils soient. Les orgies incessantes et la dépravation qui régissait la Citadelle en sont la cause. Elle en est venue à fuir tout ce qui pourrait lui apporter du plaisir par peur inconsciente de ressembler à ceux qu'elle a appris à honnir mais que, paradoxalement, elle continue à aimer.
    On peu résumer le tout ainsi : Mnénolly fuit involontairement toute personne ou chose -autre que les animaux et les arts- qui pourrait lui apporter le bonheur par crainte de ressembler a ceux qui l'ont conçut ou qui l'ont entourés enfant.
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    Quelques bribes d'histoires :
    * Cinq ans plus tôt*
    L'étranger était arrivé aux portes de la place forte par une nuit sans lune. Il était venu à pied, silhouette fantomatique enveloppée dans un manteau ample d'une couleur indéfinissable. Il avançait en se tenant appuyé sur un long bâton noueux qui ponctuait chacun de ces pas. Le visage de l'homme, sous sa capuche fatiguée, semblait ne pas avoir d'âge. Rien dans ce qu'il était, ses traits, sa posture, son costume... n'attirait l'attention si ce n'est son regard totalement insondable. Un regard sans chaleur, sans vie.
    Il avait attendu la fin de la nuit au pied de la citadelle, avec tout ceux qui n'avait pas pu entrer avant la fermeture de l'enceinte. Plutôt que de se mélanger aux autres personnes, il s'était tenu à l'écart, debout, immobile, semblant insensible aux bourrasques violentes et glacées qui tournoyaient pourtant autour de lui. Il était resté la, face au ciel. On aurait dit qu'il priait. À peine le soleil avait-il fait son apparition loin à l'horizon, les portes de la citadelle s'ouvrirent, et il sortit de son immobilisme pour entrer dans la cité.
    Personne n'oublia jamais la naissance de ce jour sanglant. À l'horizon éclata brusquement une lueur rouge comme du sang. D'un coup, le ciel sembla s'embraser, incendiant les montagnes et la mer d'une incandescence telle que pas un regard ne ne pouvait y résister. Tous les habitants furent tirés de leur sommeil par cette clarté insoutenable. Puis, de larges traînées noires s'effilochèrent dans le ciel incendié. Il fallut longtemps avant que le jour ne fasse reculer cet océan de flammes. Tout le monde était pétrifié d'horreur et les gens scrutaient les cieux, s'attendant à ce que la cité soit détruite. Seul l'Étranger était resté de marbre devant ce spectacle extraordinaire. Mais, si certains en ces instants de panique avaient observé son visage, ils auraient été surpris d'y voir un très fin et très dédaigneux sourire.

    Il parcourut les rues de la citadelle, sans un mot, semblant ne voir ni entendre personne. Comme un somnambule ou un aveugle, pourtant il voyait tout... Tout et bien au delà des apparences. Il marcha longtemps et semblait infatigable, déambulant dans la place forte, se pénétrant de son aura, il se détourna brusquement. Il rejeta la cité, ses rues nauséabondes, ses habitants lascifs, ses dirigeants et ses prêtres corrompus. Il ferma les yeux et pris une profonde inspiration. Même si il avait pendant quelques instants espérés, sa décision était désormais prise.

    *Vain et douloureux sentiment que l'espoir, sentiment de mortel.* Pensa t'il.

    Il reprit son chemin pour quitter cette citée maudite, l'abandonnant elle et ses habitants à un funeste destin. Cependant, peu avant de franchir les portes d'enceintes, son regard sembla s'animer pour la première fois. Il s'arrêta semblant humer l'air. Quelque chose avait attiré son attention. Un peu plus loin, à l'écart de la citadelle, une adolescente était assise sur un muret. Son attitude était gauche mais une grâce étrange semblait rayonner de la toute jeune femme. De tout son être tendu, elle fixait le ciel intensément, subjuguée. Une profonde et grande tristesse émanait d'elle. L'étranger se dirigea vers l'adolescente.

    Mnénolly regardait le soleil se lever, soulagée de voir enfin l'atmosphère sanglante disparaître. Son visage, était sérieux, concentré. Plus que la plupart des adultes de la citadelle, qui préféraient s'abrutir dans le plaisir, elle était consciente du danger que représentait l'avenir.
    Tard dans la nuit précédent cette aube sanglante, elle avait éprouvé une envie irrépressible de voir le soleil entamer sa course sur la montagne. Elle était venue là longtemps avant l'aube. Là où la vue lui semblait si belle et, depuis, elle scrutait le ciel qui s'était illuminé de tons éblouissant jusqu'à exploser dans un terrible embrasement. Devant la force du présage elle avait voulu fuir mais elle n'y était pas arrivée. Fascinée par la cauchemardesque beauté. Elle était demeurée sur place comme tétanisée. Pourtant, alors que physiquement elle était présente à l'extérieur de la citadelle, son cœur était ailleurs.

    Dans la tour sombre, Uris devait comme elle, observer l'horizon. Elle le rejoindrait plus tard et elle pourrait parler avec le vieil homme de cet étrange et sombre augure, lui chercher un sens, tenter de le comprendre pour essayer de l'apprivoiser.
    Mnenolly était sans espoir. Le présage qui flamboyant dans les cieux ne faisait que lui rappeler son destin qu'elle pensait funeste, se pensant maudite comme tout ceux de sa lignée. Si elle n'avait pas été la fille de la divine Mnéhéma, maîtresse de la Citadelle, peut être cela en aurait il été autrement.

    *De toute façon, cela n'a pas d'importance. Je ne vivrais sans doute pas assez longtemps pour le savoir.* songea t-elle

    Elle le percevait... La nature, la terre tout le criait : leurs présages ne pouvaient mentir. Mnenolly abandonna le cours de ses pensées pour contempler la naissance du jour. C'est à cet instant quel vit l'Étranger. Il l'observait à moins de cinq pas d'elle, immobile. La jeune fille ne détourna pas le regard comme l'avaient fait tout les habitant de la forteresse.
    Mnenolly était vêtu simplement, d'une simple tunique grise, sans broderies ou ornements. L'étoffe en était fine et belle mais pas plus que celles des vêtements que revêtaient les notables de la ville. Elle ne portait pas de bijoux/ A vrai dire, nul n'aurait pu penser qu'elle était l'une des princesse de cette contrée. L'adolescente avait grandi trop vite. Ses traits étaient réguliers mais elle était trop maigre et ses formes n'étaient pas encore celles d'une femme lui donnant une allure gauche et maladroite. Il était dur de voir en elle la fille de la magnifique Mnéhéma. La beauté de la maîtresse des lieux était réputée dans tout le royaume.
    Depuis sa plus tendre enfance, Mnénolly avait été comparée à sa mère à son désavantage. Elle en avait conçut le sentiment d'être laide. Cette certitude qu'elle acceptait au plus profond d'elle même l'empêchait de s'épanouir, de laisser s'épanouir sa féminité. Elle pensait qu'elle ne serait jamais une enchanteresse, mais elle ignorait qu'une finesse et une délicatesse touchante émanaient déjà d'elle. Elle se croyait laide et se comportait comme telle, mais sans aucune souffrance. Uris l'avait accepté et lui ne jugeait pas sur les apparences ni sur les attitudes. Son mentor s'intéressait seulement aux cœurs.

    Le voyageur semblait sonder son âme et brisa la rêverie de l'adolescente.
    - « Qui es tu enfant ? »
    - « Je m'appelle Mnénolly. »
    - « Ce n'est pas ce que je te demandais. »
    Elle faillit répondre qu'elle était l'une des filles de la reine de cette citadelle, mais elle ne le fit pas. Son instinct lui soufflant que ce n'était pas la réponse qu'il attendait. Or, étrangement, elle ne voulait pas qu'il se détourne d'elle. Il lui semblait que rien n'était plus important que cet homme. Elle avait l'impression qu'en cet instant se jouait plus que sa propre vie. Aussi lui répondit elle en murmurant très bas
    - « Je ne suis rien, ou si peu face au destin et à la fatalité. »
    L'étranger approuva d'un signe de tête semblant satisfait de la réponse, il laissa le silence retomber. Mais c'était un silence doux, l'air était comme devenu plus léger autour d'eux?
    - « Que regardait tu dans le ciel. »
    - « Les signes des Dieux.. Je crains un funeste destin, tout les présages, toute les animaux, tout les éléments. Toute la nature semble le dire... »
    - « As tu peur ? »
    - «Oui... Mais pourquoi craindre le destin ? Rare sont ceux qui peuvent le changer. Comme tous je serais argile dans les mains des Dieux. »
    - « Sais tu que tu es plaine de sagesse ma jeune enfant ? »
    - « Ici.. Il n'y a pas d'enfant. » Lui répondit elle avec un triste sourire.
    La tonalité de sa voix, emplit d'une gravité surprenante et bouleversante, surprit l'Étranger. Il regarda à travers elle, et il sut. Il vit le sang couler de ses doigts entre ses doigts alors qu'elle tentait d'arrêter l'écoulement de la vie de ses frères assassinés et qu'elle ne parvint pas a l'arrêter. Il comprit pourquoi elle se pensait maudite, pas en elle même, mais par ce que son lignage était trop corrompu pour que rien ne puisse le racheter. Et, cet homme sans age, sans âme, qui depuis la nuit des temps servait les Dieux, ce fidèle serviteur du destin aveugle, pendant un instant fut ému. Sa mission ici était accomplie. Il avait enfin trouvé ce qu'il cherchait.

    Mnénolly interrompit la réflexion de l'Étranger.
    - « Et vous ? Pouvez vous expliquer ces présages ? Qu'en savez vous ? »
    - « Peut être. »
    - « Alors vous pouvez nous aider à sauver la citadelle ? Même si tout semble corrompu, il y à encore beaucoup de bien ici. Je vous en prie, aidez nous a sauver la forteresse !
    Elle avait parlé le regardant droit dans les yeux, posément. Il en fut frappé de stupeur. L'étranger ne s'était pas attendu à une attaque aussi directe ni à ce que l'adolescente face preuve d'autant de clairvoyance alors que ses dons ne s’étaient pas encore mêmes épanouis. Cette toute jeune fille avait il deviné qui il était réellement ? Il détourna la question qu'elle venait de lui poser.
    - « Et toi ? Que ferais tu pour sauver ta citadelle, ton monde ? Le monde ? »
    La réponse fusa limpide.
    - « J’irais jusqu'au bout du monde et bien au delà, jusqu'au fond de moi. Quel que soit le prix à payer ! »
    - « Même si le prix est ta propre vie ? »
    - « Ma vie de compte pas !!! »
    Il la regarda fouillant en elle une nouvelle fois afin de mettre à l'épreuve sa sincérité. Il comprit qu'elle ne mentait pas.
    - « Je suis surpris... Surpris et heureux de trouver au sein de toute cette décadence tant de sagesse. Je reviendrais pour m'entretenir de nouveau avec toi. Je viendrais te voir au palais. »
    L'étonnement de l'adolescente se lut sur son visage.
    - « Comment savez vous que je vis au palais ? »
    - « N'est ce pas la place d'une princesse ? » Dit il en souriant
    - « Je croyais que vous n'étiez que de passage et que vous ne saviez pas qui j'étais ! »
    - « C'est le cas » souffla t-il
    - « Mais alors, co... »
    Il la coupa.
    « Mnenolly. Je viendrais lorsque tu seras prête. Je te rappellerais tes paroles si tu les à oubliées. Il te faudra me suivre et, être prête alors à aller jusqu'à bout de ton destin, quel qu'il soit. Maintenant apprends, cultive les dons qui sont en toi.»
    D'une voix étreinte par l'émotion elle osa encore lui demander :
    - « Sauverez vous la Citadelle ? »
    - « Tu dois savoir que les Dieux n'aiment pas les questions. »
    - « Vous ? … »
    Il posa un doigt sur les lèvres de l'adolescente et, sur ses mots plus que mystérieux qui laissaient tant d'interrogations sans réponse, l'Étranger repartit. Il n'était certain de rien, mais la forteresse et sa déesse moribonde venaient de bénéficier d'un sursis inespéré. Peut être pouvait elle encore être sauvée des foudres de ses Maitres.

    Déjà, le soleil brillait dans le ciel bleu. Les habitants reprenaient leurs activités coutumières, jetant parfois aux cieux désormais sereins et indifférents, des regards furtifs et terrifiés.

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Hors Role Play wrote:Prénom : Carole
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Comment avez vous connu le forum ? Grâce à l'intermédiaire d'un elfe... Ou serait ce un homme ? Un Dieu ? En tout cas un séducteur ;)
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Votre vision du Rôle-Play : Tout bon rôliste est schizophrène.
Un point que vous pensez qu'il serait bon d'améliorer sur ce forum / Quelque chose qui manque que ce soit sur le fond ou la forme : Je fais assez suer l'admin depuis quelques jours ^^
Des idées pour optimiser cette fiche de personnage / sur le jeu / sur de nouvelles manières de faire de la pub pour le forum : ça va venir
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"La liberté n'existe que là où l'intelligence et le courage parviennent à mordre sur la fatalité."
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Re: Mnénolly

Postby Conscience Universelle » Fri Oct 01, 2010 3:24 pm

Bonjour et bienvenue! Prends une chaise et assied toi.

<Dit une voix dans la tête de Mnénolly avant de rajouter> Étant donné que je ne peux pas m'asseoir! C'est ca d'être spectralement conscient de son état irréel et universelle.

Alors, que dire, rien, vu tout ce que je t'ai déjà expliqué en privé. Cette fiche est merveilleusement belle. Elle pourrait servir d'exemple pour les autres. Elle valait bien le déplacement de la conscience universelle. Tu sais déjà tout sur les détails importants de race ou autres et donc je ne m'y attarderais pas.

Juste un détail que tu dois régler pour ton premier poste dans le scénario en cours. Savoir si Mnénolly voyage toujours avec son mentor ou bien toute seule. Et pourquoi elle se rend la haut, à Maar'Lekta. Elle peut aussi vagabonder sans sens et tomber sur la compagnie en formation et décider de les suivre par curiosité.

Bref, tu es validé et tu as matière a réfléchir pour ton premier poste. Tu es libre! Ne t'arrête pas au scénario !

Si tu as des questions ou des détails à rajouter, tu sais où me trouver.

Sur ce, fait ton paquetage, j'ai d'autres affaires à régler loin d'Amnelos...


<La présence disparait comme elle était venue>
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Re: [Homme] Mnénolly

Postby Mnénolly » Tue Feb 22, 2011 4:46 pm

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    Compagnons :
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Reinak :

Description physique sans la barde : Étalon entier à la robe noire foncée, sa tête est ornée d'un liste blanc. Ressemblant morphologiquement au shire anglais. Il mesure 175 centimètres au garrot. Poids d'environ 900 kg.

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Le shire est une race de chevaux de trait britannique originaire du nord de l'Angleterre. Il est aussi surnommé gentil géant grâce à sa docilité et à sa grande taille. Le shire est la plus grande race équine au monde.

Le Shire compte parmi les plus anciennes races équines car Jules César le mentionne pour la première fois il y a près de 2000 ans dans la Guerre des Gaules. Il le décrivait comme un grand cheval noir qui fut ensuite appelé « Equus Magnus » par les Romains.

Au Moyen Âge, la grande taille et la force du Great horse lui valurent de devenir une monture militaire, pour porter les chevaliers en armure sur les champs de bataille. Les anglais décidèrent d'améliorer la taille et la puissance de leurs destriers en les croisant avec des chevaux flamands et hollandais.

>sa tête est longue et fine, au profil convexe et prolongée d'une encolure légèrement courbée.
>Les robes acceptés sont le noir, le bai et le gris, ainsi que le rouan pour les femelles.Un étalon ne doit pas avoir de grandes marques blanches sur le corps.
>Son poitrail est large, sont dos court, sa croupe longue et dégagée, ses pieds larges et solides, surmontés de fanons abondants.
> La taille moyenne d'un étalon est d' 1,75m au garrot ( certains atteignent plus de 2 m), tandis qu'une jument doit toiser au minimum 1,60 m .
> Son poid varie entre 900 kg et + d'1 tonne !!
Caractère du Shire : Très gentil et doux. Patient et docile. Très courageux.
C'est la race la plus puissante race au monde avec une puissance de traction au démarrage de 50 tonnes. Il est capable de tirer jusqu'a 5 fois son poids en terrain plat


Description harnaché :

Le corps de l'étalon est couvert d'un caparaçon noir. Si l'on y regarde a plus prêt il s'agit d'une très fine cotte de maille protégeant l'animal. Par dessus celle-ci se trouve l'armure de l'étalon. La barde de Reinak est de cuir noir et d'une étonnante souplesse afin de lui offrir une protection sans pour autant l'alourdir. Elle est constituée des pièces suivantes :
* Un chanfrein de cuir de couleur noir. Couvrant la tête de l'étalon des oreilles aux naseaux.
* Une barde d'encolure de cuir noir. Celle si est composée de deux ensembles de lamelles de cuir articulées grâce à des rivet. L'un des ensemble recouvre la partie haute de l'encolure : la crinière, le second en protège le bas : le cou.
* Un plastron de cuir noir afin de protéger le poitrail.
* Une barde de croupe protégeant l'arrière train de l'animal. Toujours de cuir noir.
* Un flançois de cuir noir fixé sur la selle possédant des ouvertures sur chaque flanc afin de permettre de mettre les pieds aux étriers.
* Une protection métallique sur les rennes pour éviter qu'elles ne soient coupées.
* Sabots sont équipés de ferrure à clou.
* Une selle de cuir rouge foncé tirant sur le noir.
* Sur la croupe fixée sur la barde de croupe de chaque coté : de larges sacoches de cuir renforcé pour le barda.
* Sur la croupe au niveau de la dossière une couverture roulée dans un assemblage de cuir et fourrures tannées rendu étanche grace a un traitement entre autre par salaison.
* Sur le flanc gauche remonté légèrement sur l'encolure un fourreau contenant une épée à lame courte.

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Eldogan :

Description :

Chien mâle âgé d'un peu plus de 2 ans. Vient de terminer sa croissance comme tout les grands chiens (2 ans révolu pour fin de croissance). Chien de type dogue allemand
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Il répond au critère de la race : grand, la poitrine profonde, puissant et élancé, la ligne de ventre remontant sous une croupe large, il est une figure de l'harmonie athlétique ; avec sa belle expression de tête posée sur une encolure longue, galbée, bien musclée, il donne l'impression d'avoir été sculpté dans le marbre.Sa hauteur au garrot est de 96 cm. Il est de couleur noir.

Équipement :

Eldogan est lui même équipé d'une barde sur mesure de cuir noir. Comprenant chanfrein, barde d'encolure et plastron de cuir souple et noir. Sur l'ensemble haut du barde d'encolure est fixé une légère excroissance de métal pouvant servir de perchoir au faucon.

Déjà présent 3 000 ans av. J.-C., le grand dogue employé pour la chasse est de l'espèce des molosses de guerre d'Assyrie, de Perse et du sous-continent indien, semblables à ceux de Celtide et de Scandinavie.

Le Moyen Âge européen le connaît toujours et il survit dans cette fonction, jusqu'au XIXe siècle, dans le puissant Hatzrüde de vénerie. Diverses espèces très voisines, caractérisées principalement par la couleur de la robe et par la taille, répondaient aux appellations de dogue d'Ulm, dogue anglais, dogue danois, dogue vautre, grand dogue...

Doué d'un excellent naturel, fort attaché à ses maîtres, il se révèle le meilleur et le plus attentionné des compagnons mais réservé avec les étrangers. Il requiert une bonne éducation, à laquelle il se soumet, avec le plus grand plaisir; ainsi équilibré, il est assuré, docile, réceptif, doué d'un seuil de réaction élevé il sera dénué de toute agressivité tant que l'on attaque pas son maître ou ce qu'il considère comme sa meute. Il sera alors capable d'attaquer et de mettre a distance l'agresseur sans retenue il peu le mettre en pièce, mais même alors, si son maitre lui ordonne d'arrêter il obéira.
Le dogue est une espèce de manière de chien; les uns sont dits dogues gentils d'autres dogues vautres et dogues de boucherie. Les dogues gentils doivent être faits et taillés comme un lévrier en toutes leurs parties, sauf la tête qui doit être grosse et courte, les oreilles droites et pointues, et on les arrange ainsi.

Quand il est bien dressé et parfaitement bon, je tiens que c'est le souverain de tous les chiens. Le bon dogue doit aimer son maître, le suivre et l'aider en tout cas et faire ce qu'il lui commandera. Le bon dogue doit aller vite et être hardi à prendre toute bête, et tenir fort sans lâcher, bien conditionné et bien soumis à son maître, et quand il est tel, je tiens, comme je l'ai dit, que c'est le meilleur des chiens qui puisse être pour prendre toute bête.
(Le Livre de la Chasse de Gaston Phébus, chapitre XVII [XVe siècle]).


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Urania :
faucon pélerin femelle, habituée a la chasse au vol et à la haute volerie.
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Le faucon ne chasse qu'au vol et percute ses proies avec le bréchet après avoir effectué un long piqué quasi vertical. l s'élève à une grande hauteur, et pique à une vitesse allant de 320 à 380 km à l'heure. Il contrôle son plongeon, capture sa proie et atterrit quand il le veut. C'est l'animal le plus rapide dans sa façon de chasser. Il peut aussi chasser sur le sol, avec les serres, pour capturer des insectes, des lézards et des mammifères.
Le faucon pèlerin est en couple pour la vie.
C'est l'oiseau le plus rapide en vol au monde, avec des piqués qui peuvent atteindre 320 km/h et même plus. Leurs ailes longues et pointues leur permettent un vol puissant, rapide et agile tout à la fois.
Le vol battu est lent, raide avec des battements peu amples. En vol à voile, les ailes sont à l'horizontale avec la main légèrement relevée.

La fauconnerie à cheval
la vraie fauconnerie à cheval est une technique de chasse qui remonte aux origines de la fauconnerie, lorsque les nomades Kirghizes ou Kazakhs chevauchaient dans les plaines d’Asie avec leurs aigles royaux, en quête de gibier, de renards et même de loups.
Aujourd’hui, la fauconnerie à cheval est devenue un art pratiqué par quelques passionnés qui doivent faire cohabiter cheval et rapace et savoir harmoniser la relation entre les deux animaux (au départ, un cheval a naturellement peur des oiseaux et le dresseur doit l’accoutumer). Le dressage du cheval et l’affaitage du faucon sont un patient travail de tous les jours, qui se poursuit durant toute la vie des animaux.

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Équipement traditionnel et possessions :

- Vêtements de rechange :

* Gant de fauconnier et épaulière de rechange.
* Une tunique longue en tissus de couleur vert émeraude sombre,
* Une tunique de cuir souble
* Un corset de cuir
* Une cape à capuche de cuir souple et noire bordées d'un fin liseré rouge et doublée de fourrure.
* Une paire de mocassins, une tunique de corps et sous vêtements (na).

- Armes :

* Une arbalète de point et ses carrés contenue dans un carquois. Chose pouvant être remarqué par un connaisseur elle semble étre taillée pour etre * tenue de la main gauche comme de la droite.
* Une dague a lame effilée et légèrement recourbée a sa taille coté gauche.
* Une dague courte botte gauche.
* Une épée courte de cavalerie sur le flanc gauche de l'étalon.

- Barda : Réparti équitablement dans les sacoches que porte l'étalon sur la croupe on trouvera :

* Une grande corde et deux longes de taille moyenne.
* Caches pattes de cuir pour Eldogan, caches sabots de laine et cuir pour Reinak.
* Un nécessaire de curetage et d'entretien (pensage) contenu dans une trousse de cuire.
* Une couverture de laine et une fourrure tannée et travaillée afin d'être rendu étanche.
* Un nécessaire de toilette ( et oui ...) contenant : un savon, une brosse dure et une brosse douce. Trois bandeaux de cuir et deux broches a cheveux.
* Deux couteaux ( un couteau de dépeçage ,un couteau à la lame très très fine ) et une hachette.
* un nécessaire de couture (aiguille de différente taille, ciseau, dés, fils, etc.)
* deux bols, une outre pleine, une outre vide, deux casseroles de taille différentes mis s'intégrant l'une dans l'autre.
* un sac contenant divers onguents et sachet ainsi qu'un pilon et son bol.
* Trousse contenant le nécessaire pour allumer un feu : Planchette, foret, archet et paumelle.
* Un vieux grimoire.
* Quelques part au milieu une bourse.

Sur la croupe de l'étalon :
* une couverture de laine roulée
* un assemblage de cuir et fourrures tannées (roulés autour de la couverture) rendus étanches grâce a un traitement entre autre par salaison. Permettant la construction d'un abris a condition de trouver des rame pour le supporter par exemple.

Sous le plastron d'Eldogan :
une bourse contenant les plus précieuse possession de la jeune femme.

A la taille de la jeune femme : une bourse contenant quelques liquidités.

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Vêtements et équipements portés au premier jour d'intervention :

* Gant de fauconnier main gauche, épaulière de protection en cuire sur l'épaule droite.
* Tunique de corps en lin
* Corset de cuir fin, moulant et souple à manches longue. Son encolure est doublée d'une chaude fourrure amovible, fixée par de fine lanière de cuir. Il est couvert d'un plastron de cuir fin et souple
* Tunique longue fendu sur le coté gauche de la taille jusqu'à terre. Faites dans un tissus de couleur ocre rouge
* Double ceintures de cuire
* Gants de cuir fin et souple
* Bottes de cuir souple et fin montant jusqu'au dessus des genoux.
* Cape a capuche retenue par des liens de cuirs au niveau de la gorge.
* Cheveux détachés mais retenus par un fin bandeau de cuir.

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Apparence au premier jour d'intervention :
Cf vêtements ou l'image représentant la jeune femme sur le premier poste de description. (Fiche perso) Sauf que la ben ... Elles est trempée.
Condition climatique : pluie soutenue.
Conséquence : Bien qu'aillant rabattu la capuche de sa cape, la jeune femme tout comme ses compagnons sont trempés. OU devrais je dire détrempé.
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